Auteur Sujet: Lexis Codex 2015  (Lu 2769 fois)

06/10/2015 - 21:47
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Chers tou-te-s,

Voici le tant attendu Lexis Codex 2015, règlement de référence pour la saison 2015/2016 des différentes Ligues de LGE.

En attendant que le lien de téléchargement du forum soit mis à jour, vous pouvez le télécharger ici :
https://www.dropbox.com/s/1nj2jt0ctvklrun/Lexis_Codex_2015.pdf?dl=0

N'hésitez pas à poser des questions aux différents comités ou à moi-même (voir fin du document) s'il devait y avoir un doute sur la compréhension du document.


Cordialement,


Necroptose


01/11/2015 - 21:43
Réponse #1

Salut tout le monde,

Un grand MERCI aux personnes qui se sont penchées sur le mise à jour du Lexis ! Bien des clarifications ont été apportées. Nul doute que cela permettra un arbitrage et un jeu facilités. :)

Afin de prévenir les débats chronophages de fin de parties – et ce d'autant qu'avec les matchs allers et retours le temps sera limité –, voici quelques questions qui, lorsqu'elles auront trouvé réponse, devraient permettre de dissiper les quelques ambiguïtés récalcitrantes. J'y vais en vrac.

« Un joueur éteint ne peut pas se poster au même endroit qu'un adversaire allumé ; il est possible de se rallumer dans une zone revendiquée par un adversaire allumé mais pas d'y rester. Le joueur qui vient de se rallumer doit dézoner immédiatement » (point 1.2.2, p. 7).
Dézoner immédiatement sous-entend l'interdiction de se défendre dans l'espace que recouvre la zone revendiquée, n'est-ce pas ? Si A revendique, alors même que B et C sont en train de me viser, non seulement je n'ai bien sûr pas le droit de tirer sur A en tant que personne qui dézone, mais en plus je suis à la merci de B et de C jusqu'à ce que je sois sorti de la zone de A. Est-ce exact ?

Lorsqu'un gilet est prétendument défectueux, comment le vérifie-t-on ? (La question ne se pose évidemment pas quand une diode est éteinte - idem concernant le petit écran sur le plastron - ou quand un pistolet ne tire pas, car la réponse est alors visible. Qu'en est-il toutefois des cas suivants?)
- Si quelqu'un-e affirme ne pas pouvoir toucher qui que ce soit, doit-elle ou doit-il se tirer dessus pour prouver ses dires ? Voire tirer sur un-e adversaire (et se faire rendre la touche ainsi que se faire pénaliser de 400 pts en cas de fausse alerte) ?
- Si A rapporte à l'arbitre qu'une cible de B (adversaire) est insensible, A et l'arbitre attendent-ils que B passe à proximité pour effectuer la vérification (en demandant à A de tirer sur B) ?

Les arrêts de jeu suppose une mesure du temps d'interruption (les fameux 25%). Faut-il dès lors que les arbitres (ou du moins l'arbitre de référence) soient pourvu-e-s d'un chronomètre ?

En page 9, au point 1.3.3, est précisée l'interdiction de « faire dépasser son arme ou une autre partie du corps volontairement d'un obstacle sans voir au-­delà de celui-­ci ». Que signifie la mention d'« une autre partie du corps » ? Si l'on voit mon pied au-dessous d'une planche, suis-je en tort ? Cette mention est-elle une invitation à ne pas exposer un membre qui pourrait gêner le jeu (par exemple mon pied qui, dépassant d'une planche par le côté, risquerait de faire trébucher quelqu'un-e passant par là) ?

Parce qu'il présente un caractère dangereux – « menaçant la sécurité des joueurs » –, un CAC entraîne automatiquement une cohabitation. C'est en tous cas ce que sous-entend le point 1.4.3 (p. 12). Un CAC est « passible de sanction » s'il est « provoqué intentionnellement ».
En quoi la troisième occurrence de CAC s'avère-t-elle dangereuse ? Faut-il sanctionner la joueuse ou le joueur qui vient délibérément se coller « contre une planche derrière laquelle se trouve déjà un adversaire » ? Personnellement, je ne considère pas que je me mette en danger ni que je mette en danger autrui dans une telle situation. A mon sens, il n'y a donc pas lieu de flasher un tel CAC provoqué, même intentionnellement.

« 5m supplémentaires » (point 1.4.6, p. 14) : est-ce à dire 5m + 3m = 8m ? Ou 5m à la place de 3 ? C'est à clarifier...
Par ailleurs, faut-il comprendre par la « note : Le joueur qui dézone allumé peut jouer face à d’autres adversaires que ceux situés en zone revendiquée » qu'il est permis, pour une joueuse ou un joueur descendant des escaliers dont le bas est revendiqué, de tirer sur des snipers au loin ?

Annoncer des fautes à la place des arbitres est proscrit (p. 19, point 2.2.4). Qu'en est-il d'un « cachage » de cible ? Ai-je tout de même le droit, en tant que joueuse ou joueur, de signaler à mon adversaire que sa cible n'est pas visible ? C'est de l'ordre du bon sens il me semble.

Enfin, dernier point – d'importance ! – qui ne concerne pas le Lexis lui-même mais son application : je remets en cause le système qui a prévalu l'année dernière consistant à dire que si l'arbitre n'a pas vu une faute, cette dernière n'est pas comptée.
Soyons honnêtes, les arbitres ne remarquent pas tout. Il est difficile, pour ne donner qu'un exemple, d'évaluer les subtilités d'une dissimulation de cible lorsqu'on est posté-e sur une planche à observer le jeu – qui est vif et qui s'exerce à différents endroits à la fois. Par conséquent, je trouverais juste qu'il soit retiré des points en fin de partie à la joueuse ou au joueur reconnaissant, dans un acte de fair-play, avoir commis une faute quoique celle-là n'ait pas été observée par un-e arbitre.

Voilààà ! J'ai hâte de lire vos réponses.

Que du bonheur à tou-te-s ! On se revoit dimanche prochain au plus tard ! :)


02/11/2015 - 10:51
Réponse #2
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Bonjour Ray,

Je ferai que quelques réponses puisque pour des raisons d'homogénisation des ligues, la décision finale sur l'attitude à adopter sera prise par la comité national rédaction lexis.


« Un joueur éteint ne peut pas se poster au même endroit qu'un adversaire allumé ; il est possible de se rallumer dans une zone revendiquée par un adversaire allumé mais pas d'y rester. Le joueur qui vient de se rallumer doit dézoner immédiatement » (point 1.2.2, p. 7).
==> Réponse du comité lexis à acquérir

Lorsqu'un gilet est prétendument défectueux, comment le vérifie-t-on ? (La question ne se pose évidemment pas quand une diode est éteinte - idem concernant le petit écran sur le plastron - ou quand un pistolet ne tire pas, car la réponse est alors visible. Qu'en est-il toutefois des cas suivants?)
- Si quelqu'un-e affirme ne pas pouvoir toucher qui que ce soit, doit-elle ou doit-il se tirer dessus pour prouver ses dires ? Voire tirer sur un-e adversaire (et se faire rendre la touche ainsi que se faire pénaliser de 400 pts en cas de fausse alerte) ?
- Si A rapporte à l'arbitre qu'une cible de B (adversaire) est insensible, A et l'arbitre attendent-ils que B passe à proximité pour effectuer la vérification (en demandant à A de tirer sur B) ?

==> ces réactions de cibles "insensibles" est un phénomène  rencontrer le plus souvent quand un joueur qui n'est pas dans le match et qui n'arrive pas à éteindre certaines cibles (si si la mauvaise foi est partout).
Par contre il existe plus souvent une cible qui s'éteint mais ne désactive pas le gilet. Dans ce cas l'adversaire prévient l'arbitre sur le joueur à contrôler.


Les arrêts de jeu suppose une mesure du temps d'interruption (les fameux 25%). Faut-il dès lors que les arbitres (ou du moins l'arbitre de référence) soient pourvu-e-s d'un chronomètre ?
===> Les 25% sont lisibles sur le gilet étant donné qu'il y a le temps de jeu.

En page 9, au point 1.3.3, est précisée l'interdiction de « faire dépasser son arme ou une autre partie du corps volontairement d'un obstacle sans voir au-­delà de celui-­ci ». Que signifie la mention d'« une autre partie du corps » ? Si l'on voit mon pied au-dessous d'une planche, suis-je en tort ? Cette mention est-elle une invitation à ne pas exposer un membre qui pourrait gêner le jeu (par exemple mon pied qui, dépassant d'une planche par le côté, risquerait de faire trébucher quelqu'un-e passant par là) ?
==> Exactement, c'est une partie du corps qui peut représenter un danger pour la sécurité du joueur

Parce qu'il présente un caractère dangereux – « menaçant la sécurité des joueurs » –, un CAC entraîne automatiquement une cohabitation. C'est en tous cas ce que sous-entend le point 1.4.3 (p. 12). Un CAC est « passible de sanction » s'il est « provoqué intentionnellement ».
En quoi la troisième occurrence de CAC s'avère-t-elle dangereuse ? Faut-il sanctionner la joueuse ou le joueur qui vient délibérément se coller « contre une planche derrière laquelle se trouve déjà un adversaire » ? Personnellement, je ne considère pas que je me mette en danger ni que je mette en danger autrui dans une telle situation. A mon sens, il n'y a donc pas lieu de flasher un tel CAC provoqué, même intentionnellement.

===> Tu peux bien souvent arriver comme une brute contre la planche et faire décrocher un néon (cas observer à Grenoble) ou détruire la planche (cas observer à Macon) ou fendre une paroi.... Tu mets indirectement la sécurité des joueurs en défaut

« 5m supplémentaires » (point 1.4.6, p. 14) : est-ce à dire 5m + 3m = 8m ? Ou 5m à la place de 3 ? C'est à clarifier...
Par ailleurs, faut-il comprendre par la « note : Le joueur qui dézone allumé peut jouer face à d’autres adversaires que ceux situés en zone revendiquée » qu'il est permis, pour une joueuse ou un joueur descendant des escaliers dont le bas est revendiqué, de tirer sur des snipers au loin ?
==> Réponse du comité lexis à acquérir

Annoncer des fautes à la place des arbitres est proscrit (p. 19, point 2.2.4). Qu'en est-il d'un « cachage » de cible ? Ai-je tout de même le droit, en tant que joueuse ou joueur, de signaler à mon adversaire que sa cible n'est pas visible ? C'est de l'ordre du bon sens il me semble.
==> Pour moi (je n'engage que mon avis) oui tu peux avertir mais de manière calme pour ne pas prendre une faute pour agression verbale

Enfin, dernier point – d'importance ! – qui ne concerne pas le Lexis lui-même mais son application : je remets en cause le système qui a prévalu l'année dernière consistant à dire que si l'arbitre n'a pas vu une faute, cette dernière n'est pas comptée.
Soyons honnêtes, les arbitres ne remarquent pas tout. Il est difficile, pour ne donner qu'un exemple, d'évaluer les subtilités d'une dissimulation de cible lorsqu'on est posté-e sur une planche à observer le jeu – qui est vif et qui s'exerce à différents endroits à la fois. Par conséquent, je trouverais juste qu'il soit retiré des points en fin de partie à la joueuse ou au joueur reconnaissant, dans un acte de fair-play, avoir commis une faute quoique celle-là n'ait pas été observée par un-e arbitre.

==> si un joueur reconnait une faute en fin de match, on le punit ? On sanctionne l'honneteté de ce fait qui ne sera que très rare.
Pour ma part ces fautes de dissimulation d cibles sont dans les deux équipes au court d'un match et cela s'annule sur la totalité du match.
Faute pas vu, faute pas prise..... C'est un peu comme au foot....

Voilààà ! J'ai hâte de lire vos réponses.

Que du bonheur à tou-te-s ! On se revoit dimanche prochain au plus tard ! :)
[/quote]

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02/11/2015 - 12:59
Réponse #3
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Bonjour,

Je reprends une question que j'ai posé dans une autre section, mais qui était apparemment réservée aux organisateurs.

Dans la partie 1.1.4 ZONE   DU   JOUEUR, il est écrit:

Citer
Par    défaut,    la    zone    d'un    joueur    est    déterminée    par une    surface    circulaire    de    3m de   
rayon autour    d’un joueur allumé. Cet   espace    peut être    revendiqué    par    une   annonce    claire
(voir   Revendication, p.12) ;   dès   lors,   un   adversaire   désactivé   ne   peut   pas   s’y   rallumer   (s’il   s’y   
rallume,    il    doit    immédiatement    la    quitter).    Dans    le    cas    où    un    adversaire s’y    rallume    sans   
revendication   du   joueur,   le   jeu peut se   pratiquer
.

Est ce que ça implique que j'ai le droit de me rallumer et de jouer dans la zone d'un adversaire si il ne m'a pas vu et donc pas revendiqué (par exemple, dans son dos) ?

C'est en contradiction avec la règle en 1.2.2 page 7 :

Citer
Un joueur éteint ne peut pas se poster au même endroit qu'un adversaire allumé

Merci de m'éclairer ^^
Ligue EST
Annemasse


02/11/2015 - 23:11
Réponse #4
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Laulau : c'est une règle que l'on doit préciser avec le comité rédaction lexis afin d'apporter une précision avant le début de la ligue c'est à dire dimanche pour ligue Ouest et ligue Est.

On vous communiquera une réponse claire et précise sur l'attitude à adopter dans ce cas.

Cordialement

Woody

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03/11/2015 - 19:55
Réponse #5

Merci Woody pour les réponses!

Concernant le cas d'une "cible qui s'éteint mais ne désactive pas le gilet", l'adversaire doit prévenir "l'arbitre sur le joueur à contrôler", dis-tu. Concrètement, je me demande comment il y a lieu de procéder. Quelle démarche adopte l'arbitre? Attend-elle ou attend-il, en présence de A (plaignant-e), que B (joueuse ou joueur dont le gilet serait défectueux) passe par l'endroit où tous les deux patientent pour effectuer la vérification? Commande-t-on un arrêt de jeu?

"Les 25% sont lisibles sur le gilet étant donné qu'il y a le temps de jeu." Je sais bien. ;) Le problème, c'est que les arbitres ne possèdent pas de gilets... Un chronomètre paraît donc opportun. Non?

"Si un joueur reconnait une faute en fin de match, on le punit ? On sanctionne l'honnêteté de ce fait qui ne sera que très rare." Là, je ne suis deux fois pas d'accord. D'une part, parce que je crois en notre capacité de fair-play. L'honnêteté n'est pas chose rare, à mon avis. D'autre part, parce que je ne parlerais pas de sanction mais plutôt d'instauration d'un jeu propre. C'est un peu l'histoire du verre à moitié vide ou à moitié plein... Pour aborder la question un brin autrement, on pourrait se demander ce qui est préférable : perdre dignement ou gagner injustement? (En ce qui me concerne, je penche pour la première option.)
La comparaison avec le foot présente certaines limites. Au lasergame les arbitres sont hélas passablement inefficaces - je me répète un peu. Pas par incompétence (quoique, parfois...  ;D), mais parce que tout voir est beaucoup plus difficile depuis nos planches que depuis (ou d'autour) d'un terrain rectangulaire plat. D'autant que dans un labyrinthe il fait sombre.
Les dissimulations était un exemple dans l'argumentation. Mon propos, je le veux plus large. Il touche à toutes ces fautes qui prêtent à litige en fin de parties. On pourrait mentionner un pied dans les escaliers, un tir malgré une revendication, une fin de cohabitation non-respectée, etc.

J'espère qu'on parviendra à affiner ces questions d'ici dimanche. :)

A nouveau, j'ai hâte de vous lire.

Poutous!


05/11/2015 - 20:54
Réponse #6
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Salut Ray (et les autres...)

je me permet de te répondre en espérant que cela puisse vous éclairer:

-certes les arbitres n'ont pas de gilet mais ils peuvent à n'importe quel moment consulter l'affichage du gilet d'un joueur (surtout lors d'un arrêt de jeu). Tu l'as toi même remarqué les arbitres ne sont pas encore majoritairement très efficaces (je pense que c'est surtout du à un manque de formation....) et leur adjoindre la gestion d'un chronomètre ne me parait pas la façon la plus pertinente pour améliorer cette situation......

-le joueur qui reconnait avoir fait des fautes une fois la partie terminée est , selon moi, passé maitre dans l'art de la mauvaise foi à double fond!!

je m'explique : le gars sait que l'arbitre ne l'a pas vu donc pas de faute... et il sait que la partie est terminée donc qu'il ne pourra pas rendre la touche....
A mon avis un vrai joiueur fair play annonce ses fautes dans le cours de la partie et rend les touches immédiatement et il peut même le faire sans passer par un arbitre!!!
c'est pas beautifull tout ça?!?!

voili voilou en espérant avoir été d'une aide quelconque et je vous souhaite une très bonne première journée de ligue!!


05/11/2015 - 22:50
Réponse #7

Merci Darius!

Je reste un poil perplexe concernant les gilets. Mais ta solution est réaliste. J'imagine du reste que c'est celle qui a prévalu jusque-là - quoique je n'en sache rien, étant encore passablement novice. Est-ce que les arbitres ont eu la rigueur de vérifier par ce biais l'écoulement du pourcentage des arrêts de jeu lors des précédentes ligues? Pas sûr. Mais peu importe : on a un nouveau Lexis, une nouvelle saison en perspective... l'occasion est parfaite pour s'améliorer! :)

S'agissant des fautes, il est effectivement idéal que les joueuses et joueurs se rendent les touches en cours de partie (ce qu'ils ne manqueront pas de faire s'ils sont fair-play, certes). Quid des situations qui ne permettent pas un rendu de touche immédiat? Imaginons une personne qui se fasse éteindre par un tir au loin alors qu'elle a encore un pied dans l'escalier. Il est possible que ledit tir ait été envoyé en toute bonne foi. Si l'arbitre n'a pas assisté à la scène, un débat aura probablement lieu en fin de partie. Débat qui pourra mettre en lumière la faute. Que décider alors? Que ce n'est pas de bol pour la personne éteinte? Cela paraît rude. N'a-t-on pas l'occasion, dans un tel cas - qui, j'en suis convaincu, n'est ni si isolé, ni si tiré par les cheveux que ça -, de faire valoir notre honnêteté?

Ta réponse, Darius, invite à une autre question : pourquoi s'interdit-on de retrancher des points une fois les 15 minutes de jeu achevées (cf. "il sait que la partie est terminée donc qu'il ne pourra pas rendre la touche")? Bien sûr, les gilets éteints ne permettent plus une correction automatique dans l'ordinateur. Toutefois, rien n'empêche de soustraire ou d'ajouter des points manuellement sur les feuilles de score. Non?

Plein de bonheur à vous!