alors tres brievement je vais completer sa presentation.
Donc zander pour ceux qui ne savent pas qui c'est, c'est le petit frere adoré de pharell. Ils sont tres proches ces deux là.
La premiere fois que nous l'avons vu, je le decrirais comme un petit bonhomme tout triste et tres sauvage refusant de mettre un pied dans le laser. Ben oui le laser c'est pour les debiles ! (je narre ses pensées).
En plein hiver le petit zander restait à coté de la voiture, tout triste en attendant que son frere adorée ai fini ses parties hebdomadaires.
Inutile de preciser qu'en hiver il fait tres froid, qu'il pleut, parfois meme un vent surgit glacant tout au passage .... mais non le petit zander surveillait sagement la voiture .... on se disait: mais quel triste destin pour ce petit bonhomme, que lui arrive t'il, pkoi ne nous aime t'il pas ?
Il s'est ensuite decidé à rentrer (se disant peut etre: non non ce n'est pas contagieux, courage !) et il attendait assis sur un fauteuil evitant tout regard de la foule en delire presente dans le laser. Je pense qu'il avait froid en fait, c'est pour ca qu'il s'est decidé à rentrer. Personne n'osait lui parler, se demandant si il n'allait pas partir en courant, en poussant des hurlements: " au secours, au secours ils m'agressent".
Puis un jour, il décida de tenter l'aventure et de penetrer dans le labyrinthe pour une partie (la raison ? on l'ignore encore, peut etre par amour pour son frere).
Et ce jour là, au grand etonnement de tous, l'euphorie du jeu le gagna. Et oui le laser c'est bel et bien contagieux en fin de compte.
Depuis c'est zander qui traine, voir qui trepigne pour que pharell (son frere adoré) l'emmene, histoire de se faire une partie de laser (notamment les mercredi apres midi esperant rencontrer de durs rivaux de 10 ans).
Et voilà l'histoire de ce petit bonhomme, qui à la suprise general, devint un accro de laser game.
LE PETIT BONHOMME ETAIT, LE PETIT BONHOMME N'EST PLUS, AUJOURD'HUI ZANDER SANS FAMILLE ET DEVENU ZANDER, LE FURIEUX DU LASER !!!!!!!!!!
FIN
ps: revise donc ton bac au lieu de dire (faire) des betises